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La porte-parole du gouvernement, Prisca Thévenot, l'a confirmé mercredi à l'issue du Conseil des ministres.

La compréhension de la logique des institutions françaises est au cœur du jeu politique. Mais les différents groupes parlementaires présents à l'Assemblée ont-ils vraiment saisi leur subtilité ?

Tout n’est quand même pas permis contre la Première ministre.

C’était lamentable et gueulard.

Les présidentes des députés du Rassemblement National et de La France insoumise ont réagi après le discours de politique générale d’Elisabeth Borne ce mercredi à l’Assemblée nationale.

La Première ministre Elisabeth Borne vivait son baptême du feu devant les députés ce mercredi.

La Première ministre Elisabeth Borne va prononcer ce mercredi 6 juillet son discours de politique générale, sans solliciter la confiance des parlementaires. Si la droite parvenait à se refonder et à se distinguer de l’actuelle majorité, à quoi pourrait ressembler sa déclaration de politique générale sur le régalien, l’économie, les finances publiques, la réforme de l’Etat, l’éducation, la santé ou bien encore les libertés publiques ?

Alors qu’Elisabeth Borne doit prononcer son discours de politique générale, le président de la République semble incapable de lui laisser la marge de manœuvre politique qui lui revient aussi bien aux termes de la Constitution qu’au regard du contexte politique inédit de cette majorité relative.

Elisabeth Borne ne sollicitera pas la confiance des députés à l’issue de son discours de politique générale le 6 juillet. Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale, a indiqué qu’une motion de censure allait être déposée contre le gouvernement.

La Première ministre Elisabeth Borne ne sollicitera pas la confiance des députés mercredi au terme de son discours de politique générale, selon des informations de BFMTV.

Il se peut que la question ne soit pas posée tant votre réponse est prévisible !

La Première ministre prononcera son discours de politique générale devant les parlementaires mercredi prochain.

Jean-Luc Mélenchon estime que la Première ministre n’avait aujourd’hui « aucune légitimité » à gouverner, alors qu'Emmanuel Macron a refusé sa démission dans la matinée

Le Premier ministre Edouard Philippe fera une déclaration de politique générale le 12 juin. Selon la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, ce discours lancera "l’acte 2 du quinquennat".

Emmanuel Macron poursuit sa chute dans les sondages en cette rentrée chargée sur le plan politique. Le chef de l'Etat ferait bien de prêter attention aux réelles préoccupations des citoyens s'il souhaite retrouver la confiance des électeurs.

Selon un nouveau sondage OpinionWay pour CCI France/La Tribune/Europe 1 dans le cadre de "La Grande Consultation", les chefs d'entreprise sont beaucoup moins satisfaits d'Emmanuel Macron qu'il y a un an.

Et aussi : Jean-Luc Mélenchon gagne deux points, tandis que Marine Le Pen en perd un.

L'ancien ministre de l'Intérieur a recueilli 305 voix contre 239 (et 10 abstentions), d'après les résultats annoncés au "perchoir" par le président Claude Bartolone.

Si cette annonce laisse entrevoir une sortie de crise, Mariano Rajoy devra toutefois continuer à négocier âprement pour obtenir les voix nécessaires.

Dans ce baromètre TNS Sofres publié ce jeudi pour le Figaro Magazine, Alain Juppé conserve lui sa place en tête du palmarès des "cotes d'avenir".